Vers la fin juin j’ai enfin pu partir pour l’Ile du Prince Edouard pour y faire une retraite artistique dont je rêvais depuis dejà plusieurs années. Quelle paix profonde dans un lieu tranquille ou j’ai pu me ressourcer, du moins un peu. Deux semaines c’était vraiment bien mais deux mois - quel rêve! Peut-être un jour.

Depuis mon retour à l’atelier chez moi je remarque beaucoup toutes les tâches qui occupent quotidiennement tellement de temps précieux. Tâches que je n’avais pas à faire lors du séjour à l’Ile.

Travailler dans cette tranquillité profonde, en écoutant les sons de l’entourage et suivant les marées, engendre un rythme de travail lié a celui de la nature qui nourrit beaucoup la contemplation et la créativité.

Je souhaite que cette expérience de travail continuera à s’infiltrer dans mon travail pendant les semaines et les mois à venir.